Ostéopathie émotionnelle
Lorsque cette fameuse "cause mécanique" a été identifiée , encore reste-il souvent à déterminer "la cause de la cause" .
Car si un choc ou une posture maintenue trop longtemps peuvent avoir étés à l'origine du trouble , nos émotions viennent elles aussi marquer notre corps, ses tensions , ses méridiens énergétiques...
L'ostéopathie somato-émotionnelle est faite pour permettre à nos émotions, nos instincts, de reprendre leur libre circulation .
Elle peut agir sur nos réflexes émotionnels acquis à travers la libération de leur empreinte dans les tissus profonds (fascias) . Ceci afin de nous aider à modifier certains des automatismes qui nous limitent.
D'un autre côté, au cours d'une séance , le toucher bienveillant permet au corps de se sentir sécurisé , la main se pose sur divers zones pour chercher à rendre conscientes leurs tensions. Au fil de cette exploration et du dialogue qui peut s'initier, des réactions corporelles peuvent être observées ... Mouvements involontaires , circulation , chaud froid , émotions ... ce qui se présente peut être exploré, sans jamais forcer. . Petit à petit , les tensions peuvent relâcher leur charge, la respiration, l'énergie, l'émotion peuvent reprendre leur cours.
En quelque sorte , cet outil es
Elle permet également grâce à sa lecture du corps, de relier troubles physiques et émotions , et de traiter ainsi les nœuds émotionnels qui induisent les symptômes physiques (en créant des tensions sur nos artères, nerfs, glandes, organes, articulations...).
La théorie de James-Lange pose que l’émotion est en réalité une prise de conscience (une interprétation) de nos réactions corporelles face à une situation.
Contrairement à notre intuition première, ceci implique que « Nous nous sentons tristes parce que nous pleurons [...] et effrayés parce que nous tremblons (ou nous contractons) » .
En réalité où est située notre mémoire ? Quelle forme d'empreinte permet de conserver la mémoire d'une sensibilité émotionnelle? Doit on chercher à un seul endroit ? Le réseau neuronal est il suffisant pour l'expliquer ? Y'a t'il également une mémoire corporelle ? Cellulaire ? Ou située dans des structures plus subtiles décrites par les médecines énergétiques ?
En ostéopathie émotionnelle, amener la détente à l'endroit précis ou le tissu exprimait son mal être, sa retenue , sa peur , sa contraction, modifie nos émotions en influant sur notre vécu corporel.
La personne peut ensuite profiter de cette ressource nouvelle , de cette liberté de choix retrouvée, pour confirmer son potentiel, s'accepter, s'affirmer, dire ce qui doit être dit, aimer, faire confiance ...
Il existe beaucoup de moyens de s'adresser à nos émotions, nos douleurs : techniques énergétiques, verbales, respiratoires...
Le toucher est un abord très intéressant, car le corps garde toute la mémoire de notre histoire (jusqu'à la période pré-verbale in-utero) sous forme de tensions musculaires.
Etre touché est aussi un élément, sécurisant capital qui permet de s'ouvrir.
Il semble que s'adresser directement à la mémoire corporelle permette une approche plus profonde, moins interprétative car "guidée" par le corps lui même . De cette façon il est plus aisé de ne pas se perdre.
Parfois on nous pose une question et nous répondons grâce à notre réflexion, le corps lui ne ment pas.
Les réactions corporelles sont un témoin qui montre en permanence ce qui compte, et ne compte pas . Ce qui demande à être exploré, reconnu, évacué...
Car si un choc ou une posture maintenue trop longtemps peuvent avoir étés à l'origine du trouble , nos émotions viennent elles aussi marquer notre corps, ses tensions , ses méridiens énergétiques...
L'ostéopathie somato-émotionnelle est faite pour permettre à nos émotions, nos instincts, de reprendre leur libre circulation .
Elle peut agir sur nos réflexes émotionnels acquis à travers la libération de leur empreinte dans les tissus profonds (fascias) . Ceci afin de nous aider à modifier certains des automatismes qui nous limitent.
D'un autre côté, au cours d'une séance , le toucher bienveillant permet au corps de se sentir sécurisé , la main se pose sur divers zones pour chercher à rendre conscientes leurs tensions. Au fil de cette exploration et du dialogue qui peut s'initier, des réactions corporelles peuvent être observées ... Mouvements involontaires , circulation , chaud froid , émotions ... ce qui se présente peut être exploré, sans jamais forcer. . Petit à petit , les tensions peuvent relâcher leur charge, la respiration, l'énergie, l'émotion peuvent reprendre leur cours.
En quelque sorte , cet outil es
Elle permet également grâce à sa lecture du corps, de relier troubles physiques et émotions , et de traiter ainsi les nœuds émotionnels qui induisent les symptômes physiques (en créant des tensions sur nos artères, nerfs, glandes, organes, articulations...).
La théorie de James-Lange pose que l’émotion est en réalité une prise de conscience (une interprétation) de nos réactions corporelles face à une situation.
Contrairement à notre intuition première, ceci implique que « Nous nous sentons tristes parce que nous pleurons [...] et effrayés parce que nous tremblons (ou nous contractons) » .
En réalité où est située notre mémoire ? Quelle forme d'empreinte permet de conserver la mémoire d'une sensibilité émotionnelle? Doit on chercher à un seul endroit ? Le réseau neuronal est il suffisant pour l'expliquer ? Y'a t'il également une mémoire corporelle ? Cellulaire ? Ou située dans des structures plus subtiles décrites par les médecines énergétiques ?
En ostéopathie émotionnelle, amener la détente à l'endroit précis ou le tissu exprimait son mal être, sa retenue , sa peur , sa contraction, modifie nos émotions en influant sur notre vécu corporel.
La personne peut ensuite profiter de cette ressource nouvelle , de cette liberté de choix retrouvée, pour confirmer son potentiel, s'accepter, s'affirmer, dire ce qui doit être dit, aimer, faire confiance ...
Il existe beaucoup de moyens de s'adresser à nos émotions, nos douleurs : techniques énergétiques, verbales, respiratoires...
Le toucher est un abord très intéressant, car le corps garde toute la mémoire de notre histoire (jusqu'à la période pré-verbale in-utero) sous forme de tensions musculaires.
Etre touché est aussi un élément, sécurisant capital qui permet de s'ouvrir.
Il semble que s'adresser directement à la mémoire corporelle permette une approche plus profonde, moins interprétative car "guidée" par le corps lui même . De cette façon il est plus aisé de ne pas se perdre.
Parfois on nous pose une question et nous répondons grâce à notre réflexion, le corps lui ne ment pas.
Les réactions corporelles sont un témoin qui montre en permanence ce qui compte, et ne compte pas . Ce qui demande à être exploré, reconnu, évacué...